L’éloge de la lenteur
Se retrouver, littéralement, après des semaines de confinement qui ont souvent mis nos nerfs à rude épreuve. Longue
Promenade en pleine nature, séance de méditation, détour par le jardin… chacun a sa recette pour tourner le dos
Au spleen et renouer avec les ondes positives. Et si nous avions réappris à profiter des petites choses, à l’image de ces trois
Influenceurs qui savourent, au rythme d’un café vertuo, les heures qui passent ?
Par peyo lissarrague photos laetizia bazzoni
Il ne s’agit pas de vivre à la vitesse d’un escargot, mais de trouver la bonne vitesse pour chaque chose. Savourer les heures et les minutes plutôt que de les compter. » C’est en ces termes que Carl Honoré, journaliste canadien auteur du best-seller Éloge de la lenteur, définit le slow movement. Cette réflexion sur la nécessité de ralentir touche toutes les générations et tous les milieux. Les trois influenceurs qui ont testé en avantpremière la nouvelle machine Vertuo incarnent cette capacité à prendre le meilleur de notre époque digitale tout en préservant une vraie qualité de vie. Et ils ne sont pas les seuls. On l’a vu durant l’épidémie de coronavirus, la course à pied est devenue, pour beaucoup d’entre nous, un moyen idéal de s’accorder un moment pour soi. Alexandre Van Ranst, responsable commercial d’une marque de voitures de luxe au Grand-Duché de Luxembourg, est un adepte des trails, ces courses de longues distances en pleine nature à la popularité croissante. « Cet espace de liberté me permet de lever le pied, dans tous les sens du terme, et de récupérer de mes obligations. Bien sûr, j’ai mis ma passion entre parenthèse ces derniers mois, mais j’ai continué à courir dans la forêt voisine. J’ai d’ailleurs fait des adeptes autour de moi. Quelle que soit la façon dont on pratique, c’est une évasion. On court, on marche, peu importe. La nature nous porte et, très vite, l’effort physique fait tout oublier. On atteint une forme d’état de méditation, de plénitude. » Dans un registre plus introspectif, mais tout aussi physique, la méditation et le yoga connaissent une popularité croissante dans le monde, qui s’est renforcée durant les semaines de confinement. Les estimations les plus récentes recensent 500 millions de pratiquants. Un phénomène bien présent en Belgique et au Luxembourg : le 21 juin 2019, l’International Yoga Day y a réuni 6 000 personnes lors de séances collectives. À Anvers, Mark Goossens, ancien danseur devenu gérant d’hôtel, en vante les mérites : « Cette pratique offre de nombreuses variantes adaptées à tous les âges et tous les corps. Il s’agit avant tout d’atteindre cet état de repos qui permet de se ressourcer, de se retrouver, de s’accepter en douceur. »
Qui sème le temps récolte le repos
Assis devant le cabanon de son potager urbain à Merksem, David Bluss parle de ses poules et de ses légumes avec la même affection. « Je jardine avant tout pour m’évader. Je suis ingénieur informatique et après le bureau, dès que je peux, je viens ici. C’est mon refuge. Travailler la terre me vide l’esprit et m’apaise. » Au bord de l’extinction dans les années 1990, les potagers urbains ont à nouveau le vent en poupe. Dans la capitale belge, Bruxelles Environnement en recense aujourd’hui plus d’une centaine. Jardiner est devenu, pour de nombreux citadins, non seulement un engagement écologique, mais aussi une forme de relaxation.
Les nouvelles règles du jeu
Et puis, il y a ceux qui jouent, seuls ou à plusieurs. Conséquence sans surprise du confinement, nous avons tous ressorti de nos placards nos jeux de société et autres puzzles. La vente de ces derniers (et pas seulement les modèles pour enfants) a explosé au mois de mars 2020, avec une hausse des achats en ligne de 438,50 %. Confirmation d’un engouement général pour les jeux dits « de plateau » dont le marché a crû de plus de 70 % ces cinq dernières années. « Les jeux actuels sont beaucoup plus créatifs que ceux d’avant », confie Elisabeth Beckers, étudiante à l’Université libre de Belgique (ULB). « L’accent est mis sur l’évasion et la convivialité. On plonge dans un monde imaginaire et on s’offre une parenthèse temporelle d’une heure ou deux, en famille ou entre amis. » Responsable de la communication d’un grand groupe chimique, Kirsten Ujvari s’est elle aussi laissée entraîner par ce nouveau hobby. « Je me suis mise à faire des puzzles, moi qui suis plutôt une fan des activités de plein air. Cela m’a permis de maîtriser le stress lié au confinement et de m’obliger à prendre le temps de me vider l’esprit… » En somme, chacun a ses astuces pour reprendre le pouvoir sur son rythme de vie chahuté. À l’exemple des trois jeunes influenceurs que nous avons rencontrés, pour qui « se mettre en pause » rime avec « instants café », d’autant plus lorsqu’il appartient à la nouvelle gamme Vertuo.
Deborah Gillyns « Après ma formation, j’ouvrirai un atelier de chocolat à Brooklyn »
UNE ODEUR DE PAIN FRAIS ENVAHIT LA PIÈCE. DANS LE FOUR, DEUX MICHES AU LEVAIN SONT EN TRAIN DE CUIRE DOUCEMENT. Sur la table de la cuisine, des pellets de chocolat, des citrons, du praliné et une collection de capsules Vertuo colorées… Pas besoin de chercher bien loin pour savoir comment Deborah Gillyns recharge ses batteries. Depuis sa plus tendre enfance, la jeune femme de 28 ans est passionnée de cuisine, plus précisément de pâtisserie. « À cinq ans, j’ai fait moimême mon gâteau d’anniversaire, confesse-t-elle dans un sourire. Et depuis, je ne me suis plus arrêtée. Après l’université, je voulais ouvrir mon propre restaurant et j’ai travaillé chez Sang-Hoon Degeimbre, à Bruxelles, pendant un an et demi. Une expérience enrichissante qui m’a fait définitivement prendre conscience de ma vocation : le chocolat. J’ai entamé une formation de chocolatière, il y a un an. Lorsque je l’aurai terminée, j’ouvrirai un atelier de chocolat aux États-Unis, à Brooklyn. » Assise dans la lumière pâle de l’arrière-saison, un cappuccino préparé avec un Arondio à la main, Deborah évoque avec beaucoup de recul son statut d’influenceuse et ses plus de 30 000 abonnés sur Instagram (@debbyfoodilicious). « Cette visibilité n’est pas une fin en soi. Elle me sert principalement à promouvoir mon travail sur le chocolat, mais aussi à partager mes expériences avec tous ceux qui cherchent l’inspiration. Leur faire découvrir, par exemple, les formidables cafés Vertuo. Il y a vraiment une belle diversité dans la gamme, du très fruité au plus corsé, on peut imaginer des dizaines d’accords gourmands, avec le chocolat, bien sûr ! Ma machine Vertuo Plus Titane est très agréable d’utilisation. Il suffit d’une simple pression sur le bouton et elle s’occupe de tout. Elle permet aussi de faire de très grandes tasses. Comme j’apprécie lescafés avec du lait, c’est l’idéal. »
SON MOMENT VERTUO « Quand je reviens de la salle de gym , où je me rends tous les jours, j’aime me préparer un cappuccino Arondio dans un mug Vertuo 230 ml. Je le fais avec du lait sans lactose ou avec du lait de soja. Quand je cuisine, je me fais volontiers un Hazelino Muffin dans un View Mug Alto, avec du lait aussi. J’adore ses notes de noisette. »
Amylia De Schepper « Cuisiner pour les autres, partager, recevoir, c’est dans mon ADN »
« J’AI TOUJOURS ADORÉ ÊTRE L’HÔTESSE, RECEVOIR DES AMIS CHEZ MOI, préparer à manger et créer une ambiance conviviale pour que chacun se sente à l’aise. Je pense que c’est ce qui m’apaise le plus, être proche de ceux que j’aime et profiter avec eux de moments uniques. » De cette passion de la cuisine qui rassemble les êtres, Amylia De Schepper a fait bien plus qu’une devise. Ses 20 000 abonnés sur Instagram (@cookameal) et surtout les 60 000 visites mensuelles sur son blog Cookameal ont donné naissance à une véritable communauté autour de la jeune trentenaire. Au fil de recettes et de récits de voyage, elle dessine un paysage tout en sourires et en chaleur humaine, vantant les joies de la « framily », cette tribu dans laquelle la frontière entre friends et family s’estompe. « Je travaille dans une banque et mon mari est DJ. Nos agendas sont très chargés, alors je veux profiter au maximum de nos moments ensemble. Rien de tel qu’un brunch le dimanche, tous les deux, avec un bon café et mes célèbres gaufres, pour faire le plein d’énergies positives. Les nouvelles capsules Vertuo sont idéales pour ce genre d’occasion, la machine Vertuo Plus adapte la température en fonction du type de café et on peut déguster tranquillement une extraction longue parfaitement chaude jusqu’au bout. » Amylia habite à Anvers et travaille à Bruxelles. Pour échapper au stress du navetteur, elle a fait le choix du vélo et du train. Un départ cycliste en douceur vers la gare de Berchem, équipée de son Travel Mug Vertuo, évidemment, puis un trajet ferroviaire qui lui laisse le temps de penser à sa prochaine création et de noter, dans l’un de ses nombreux carnets, l’ébauche d’un texte ou d’une recette pour son blog.
SON MOMENT VERTUO « Pour le brunch du dimanche, je vais me tourner vers un café équilibré, un Giornio dans un mug Vertuo 230 ml, sans lait, même si j’apprécie aussi un bon cappuccino. Quand je prends le chemin du travail, je me prépare un grand Alto Dolce de 414 ml dans mon Travel Mug Vertuo. Je suis parée pour mon trajet quotidien. »
Amaël Hazza « Enfant, je trempaismes biscuits dans du café allongé »
DÉBARQUÉ À BRUXELLES DE SON GARD (FRANCE) NATAL EN 2011 POUR Y SUIVRE DES ÉTUDES D’ARCHITECTURE À LA CAMBRE, Amaël Hazza n’est plus jamais reparti. « Je cherchais une ville vivante, mais à taille humaine. J’ai trouvé cet équilibre ici. L’architecture est mon métier et ma passion, je suis un urbain dans l’âme. J’aime prendre mon Fuji X-T20 et aller marcher dans les rues, photographier les bâtiments. Il faut du temps pour percer les secrets d’un immeuble, d’une tour ou d’une maison. Du temps pour se perdre, aussi, et atteindre une sorte de sérénité, se laisser imprégner. » La beauté pure et vibrante des clichés d’Amaël a donné naissance à une page Instagram (@a_m_a_d_e_u_s ) suivie par près de 37 000 personnes. « Ce succès sur les réseaux sociaux est arrivé presque par surprise. Aujourd’hui, je me limite à une photo par jour, si je postais tout ce que je prends, ce serait un déluge d’images. » Dans les étagères de son appartement à Anderlecht, les catalogues des Rencontres d’Arles côtoient les numéros du magazine de design Ideat et une machine Vertuo Plus Silver flambant neuve. « Je suis un fou de café. Enfant, mes parents me laissaient tremper mes biscuits dans du café allongé. J’ai toujours aimé ces saveurs torréfiées et amères. J’adore la nouvelle gamme Vertuo. Les extractions sont parfaites, avec une superbe crema, dense et riche. En plus, on peut varier les plaisirs en passant facilement d’un petit espresso à un lungo, selon les moments de la journée. Comme pour tout ce que je consomme, j’accorde une grande importance à l’aspect environnemental et Fairtrade. Surtout pour les produits qui viennent de loin, la certification commerce équitable est essentielle. C’est une des raisons pour lesquelles j’apprécie le Master Origin Colombia. »
DÉBARQUÉ À BRUXELLES DE SON GARD (FRANCE) NATAL EN 2011 POUR Y SUIVRE DES ÉTUDES D’ARCHITECTURE À LA CAMBRE, Amaël Hazza n’est plus jamais reparti. « Je cherchais une ville vivante, mais à taille humaine. J’ai trouvé cet équilibre ici. L’architecture est mon métier et ma passion, je suis un urbain dans l’âme. J’aime prendre mon Fuji X-T20 et aller marcher dans les rues, photographier les bâtiments. Il faut du temps pour percer les secrets d’un immeuble, d’une tour ou d’une maison. Du temps pour se perdre, aussi, et atteindre une sorte de sérénité, se laisser imprégner. » La beauté pure et vibrante des clichés d’Amaël a donné naissance à une page Instagram (@a_m_a_d_e_u_s ) suivie par près de 37 000 personnes. « Ce succès sur les réseaux sociaux est arrivé presque par surprise. Aujourd’hui, je me limite à une photo par jour, si je postais tout ce que je prends, ce serait un déluge d’images. » Dans les étagères de son appartement à Anderlecht, les catalogues des Rencontres d’Arles côtoient les numéros du magazine de design Ideat et une machine Vertuo Plus Silver flambant neuve. « Je suis un fou de café. Enfant, mes parents me laissaient tremper mes biscuits dans du café allongé. J’ai toujours aimé ces saveurs torréfiées et amères. J’adore la nouvelle gamme Vertuo. Les extractions sont parfaites, avec une superbe crema, dense et riche. En plus, on peut varier les plaisirs en passant facilement d’un petit espresso à un lungo, selon les moments de la journée. Comme pour tout ce que je consomme, j’accorde une grande importance à l’aspect environnemental et Fairtrade. Surtout pour les produits qui viennent de loin, la certification commerce équitable est essentielle. C’est une des raisons pour lesquelles j’apprécie le Master Origin Colombia. »